Archive pour la catégorie ‘Musique / Musik’

Liechtenstein / Patricia Kaas / Ein Herz des Kämpfers

Lundi 29 mars 2010

D’allemagne / Patricia Kaas

Lundi 29 mars 2010

Ein bisschen Goethe, ein bisschen Bonaparte / France Gall

Lundi 29 mars 2010

Der Computer Nummer 3 / France Gall

Lundi 29 mars 2010

Deuils / Trauer – Père / Vater – Mère / Mutter

Mardi 23 février 2010

Sexe et Amour / Sex und Liebe

Lundi 22 février 2010

La sexualité humaine représente un champ de recherches comportementales, sociales, culturelles et civilisationnelles plus ou moins lié à la satisfaction des plaisirs sexuels. Née de l’analyse physiologique et psychologique des troubles sexuels, la sexologie est considérée comme la science de la sexualité chez l’être humain, dans ses composantes médicales et sociologiques (y compris et surtout celles de la neurobiologie, de la psychiatrie ) mais la psychanalyse a à ce sujet une approche diamétralement opposée ( à lire prochainement dans la suite de mon article).

Liebe et Folies

Les ravages du surveillant pervers

Lundi 22 février 2010

Identité sexuelle

Lundi 22 février 2010

En sociologie, l’identité sexuelle (ou identité de genre ou identité sexuée) se réfère au genre par lequel une personne est socialement reconnue ; c’est-à-dire que certaines personnes parlent d’elles-mêmes comme étant un homme ou une femme ou se décrivent de façon moins conventionnelle, mais ce terme peut aussi faire référence au genre que les autres personnes attribuent à quelqu’un sur la base de ce qu’ils connaissent des indicateurs sociaux de genre (vêtements, coiffure, démarche, etc.).
Cette identité est conférée dès la naissance, voire auparavant du fait du recours à l’échographie. Mais l’identité conférée et l’identité ressentie peuvent parfois être différentes. De plus, il peut y avoir avoir absence d’identité ou double identité. On peut donc être asexué, bisexué. L’identité de genre peut être également affectée par nombre de structures sociales, comme l’appartenance culturelle, le statut social, la situation professionnelle, l’éducation ou la famille.
Certaines cultures comme celle de Sparte antique encouragent la bisexualité. D’autres l’interdisent. L’identité est donc aussi culturelle et est liée aux interdits sociétaux ou religieux. L’identité de genre est donc profondément culturelle et éducative. elle permet l’intorisation des normes sociales liées au sexe. On ne nait pas femme, on le devient disait Flora Tristan. Même dans les sociétés, où on accorde un intérêt inavouable aux identités troubles comme les castrats, ou le chevalier d’Eon.
Les scientifiques se sont demandés dans quelle mesure l’éducation influençait l’identité de genre. Il est très difficile de faire des expériences objectives car, les enfants ne peuvent pas être utilisés comme des cobayes. Cependant dans les années trente, le docteur Raymond Choopy-Ney, psychiatre dans le Dakota du Nord a pu étudier deux cas, celui de la famille Smith dont la fille Kevina a été élevée comme un garçon et celui de la famille Wesson où le fils Omer avait été élevé coest comme une fille. Ces deux enfants ont souffert à l’adolescence de troubles névrotiques sérieux relatés dans deux articles de la société américaine des psychatrie (le cas K. en fevrier 1935 et le cas O. en décembre 1938). Malheureusement Choopy-Ney est parti à la guerre en janvier 1942 et on a pas su ce qu’étaient devenus Kevina et Omer. Mais à ce ce sujet, ma position d’analyste est diamétralement opposée.
La plupart des gens sont considérés comme « cisgenres » (« cisgendered » en anglais), leur identité sexuelle étant la même que leur sexe biologique (par exemple, un enfant né avec des organes sexuels féminins, élevé en tant que fille et qui se sent femme). Avant le XXe siècle, le sexe d’une personne était déterminé seulement par l’apparence des organes sexuels visibles, mais depuis la découverte des chromosomes et des gènes, ceux-ci sont aussi utilisés. Les personnes dont le sexe a été défini comme féminin ont des organes sexuels féminins et deux chromosomes X ; ceux définis comme étant de sexe masculin ont des organes sexuels masculins ainsi qu’un chromosome X et un chromosome Y. Toutefois, il y a des personnes qui ont des combinaisons de chromosomes, d’hormones et d’organes reproducteurs qui n’entrent pas dans les définitions traditionnelles d’« homme » et de « femme ». Les appareils reproducteurs varient d’une personne à une autre, certains individus ayant plus d’un type d’appareil reproducteur ; d’autres attributs physiques attribués au sexe d’une personne (forme du corps, pilosité faciale, voix grave ou aiguë, etc), peuvent ou non coïncider avec le genre attribué, homme ou femme, d’après l’apparence des appareils reproducteurs. La recherche récente suggère qu’une personne sur cent peut avoir une caractéristique intersexuelle1. Les transgenres sont ceux dont l’identité sexuelle et/ou les organes reproducteurs et les chromosomes diffèrent des définitions traditionnelles. Les identités sexuelles, et plus spécifiquement les aspects considérés comme relevant du bon comportement ou de l’apparence correcte en fonction du genre, diffèrent selon la culture. L’identité sexuelle de la plupart des gens s’écarte d’une manière ou d’une autre des rôles stéréotypés d’« homme » et « femme », et certaines en divergent davantage que d’autres.
Selon certains chercheurs bien comprendre la différence entre le sexe biologique et l’identité sexuelle, les cas le plus simples à prendre sont ceux où l’appareil reproductif extérieur (pénis, clitoris…) a été enlevé. La libido et la capacité d’exprimer son désir sexuel sont changés, mais l’identité sexuelle peut rester la même.
C’est là où aussi j’interviendrai dans la suite de cet article pour exprimer mon positionnement en tant que psychanalyste.

Homosexualités masculines / Homosexualitäten

Lundi 22 février 2010

Selon Freud, la sexualité humaine est avant tout le résultat du travail psychique du sujet sur la pulsion sexuelle et non pas le développement linéaire d’une biologie sexuelle où pulsion et objet seraient confondus. En effet le désir de l’autre et le choix de la personne sont souvent complexes.
Si la pulsion sexuelle trouve sa force et son énergie dans la biologie, elle tire son origine de l’inconscient. Et c’est dans la mesure où le sujet est en interaction avec d’autres qu’il peut éveiller sa pulsion sexuelle et développer les représentations à partir desquelles il va l’exprimer. Les premiers partenaires de l’enfant au contact desquels la pulsion sexuelle est sollicitée, sur le mode de l’identification, sont les parents.
Ce serait, selon certains chercheurs, la sexualité inconsciente des parents qui sert de base à l’enfant pour développer la sienne. Autrement dit, non seulement l’amour est déterminant pour s’affirmer sexuellement, mais il faut aussi que l’image du père ou de la mère ne soit pas dévalorisée par l’un ou l’autre des parents. Dans un certain type d’homosexualité masculine, on observe que les hommes veulent être l’homme idéal que le père n’a jamais été, mais il y a de multiples catégories parmi les homosexualités masculines.

Non, selon mes théories ils ne s’agit pas de gène, mais c’est intéressant de se pencher sur cette façon de résoude la question de l’homosexualité.


( suite de l’article prochainement)